La faute à pas de chance!!!!
Hier, à 21:45
Il y a des samedis comme ça, où la chance ne vous sourie pas : ce matin, je descends à la cave, paf de l'eau partout...serpillière, et balais sont de la partie pour deux heures : merci Véolia!!!un bon repas, l'appareil photo stéréo au coups nous voilà partis au cheval. David et moi laissons Sosso, direction Beutal, sur la route un super puit à balance, avec des feuillages , des fleurs...le rêve!!! je fais mes calculs, ouverture du diaphragme, focale, profondeur...J'arme : plus de pellicule...bon on repassera, peut être un jour...Beutal, nous trouvons le plan des randonnées, l'étang de Beutal avec ou sans appareil ça doit être super...nous suivons le GR : faut il suivre direction Suisse, ou Montenois : la réponse nous parait logique, tout à l'ouest, nous marchons une heure, mais toujours pas d'étang en vue, nous croisons un bouc et un poney, quelle chance, ils nous foncent pas dessus : par contre quelle vue : le chasseral, la vallée du Doubs...pas de regret! au retour je pose la question à un paysan : mais où était l'étang ? " c'est simple vous prenez la première à droite, puis un petit chemin et c'est là...une demie heure de retard, nous voilà au centre équestre un petit groupe de cavallières accourent vers moi, Sosso s'est fait mordre par un cheval!!! trousse de soins : et oui les doigts de ma fille ont la même forme que les bonbons commercialisés pour ces belles bêtes.. l'infirmerie c'est ma voiture elle est rouge comme les pompiers!!!plus de peur que de mal, pauvre bête il croyait avoir un bonbon, il n'a trouvé qu'un os avec un peu de chaire...pauvre sosso, la prochaine fois elle lui lavera les dents avec une brosse avant de lui donner à manger...retour à Montbé, avec David nous fonçons au cinéma : l'armée du crime, nous restons dans le rouge : j'aime le film, combien d'étrangers, Hongrois, Albanais, militants et résistants sont morts pour la France???"
J'aime la poésie, j'aime l'amour, j'aime la vie" : Missak.
Résumé,
en février 44, les visages de Rayman, Elek, Bocsov, Fontanot Alfonso, Manouchian, qualifié de "chef de bande", suppliciés après un procès expéditif, sont placardés sur les murs de toutes les villes françaises, dans une ultime opération de propagande xénophobe et antisémite qui fera long feu. Cette affiche galvanise au contraire les énergies de la population, et à quelques mois de la libération du pays, ces étrangers morts pour la France entrent dans la légende. Attention des scènes sont dures : bon dimanche....