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La culture c’est ce qui fait l’humain!

Entre juillet et Octobre une nouvelle page d'un livre de la vie s'est ouverte pour moi, et un nouveau chapitre est entrain de commencer.

Vous le voyez  je suis déjà dans mes nouvelles fonctions. Et je remercie l'équipe municipale de m'avoir confié ce challenge passionnant, dans lequel croyez le bien je déploie et je déplorerai toute mon énergie.

 Etais-ce un hasard, si en 1983 j'étais nommé à la MJC St Exupéry ? : «  on ne voit bien qu'avec  le Cœur « ,disait St Exupéry.

C'est ce que 'ai essayé modestement de faire en 25 ans avec chacune et chacun d'entre vous.

Aujourd'hui  je  change de poste : est-ce que je change de métier?

 oui et non : l'accès pour tous à la Culture et au savoir aux nouvelles technologies est une préoccupation, voir une exigence commune des MJC, des bibliothèques : dont l'historique se croise et s'épouse très largement.

Je voudrais remercier du fond du cœur, toutes celles et tous ceux qui au fil des années écoulées ont été tout à la fois mes collaborateurs, conseillers et ami(es).

 Je voudrais remercier les habitants des Champs-montants qui m'ont tant apportés et qui continuent avec d'autres Audincourtois  à forger mon identité.

Mon histoire aux champs-montants est un sacré bouquin, si je devais le classer en bibliothèque, je le classerai dans la catégorie des romans d'amour : classification 152.41 ou 42 Dewey

Je souhaite à la MJC et à chaque partenaire, habitants, du quartier de continuer,  d'améliorer , et d'avancer dans ce chemin que nous avons parcouru ensemble.

Je suis nommé à la responsabilité de la Bibliothèque:

 Janusz Korczak : médecin pédiatre  et pédagogue que j'affectionne particulièrement de part mes origines et son action. Je sais que nous continuerons à travailler ensemble, tant nos centres d'intérêts et nos actions sont communs.

Je vous dis donc au revoir !

Et je conclurai sur une citatation de  :

Janusz Korczak :

« Vous dites :
— C'est épuisant de s'occuper des enfants.

Vous avez raison.

Vous ajoutez :
— Parce que nous devons nous mettre à leur niveau. Nous baisser, nous pencher, nous courber, nous rapetisser.

Là, vous vous trompez. Ce n'est pas tant cela qui fatigue le plus, que le fait d'être obligé de nous élever jusqu'à la hauteur de leurs sentiments.

De nous élever, nous étirer, nous mettre sur la pointe des pieds, nous tendre.

Pour ne pas les blesser. »

    « Ce qu'ils pensent et ce qu'ils ressentent, ils le savent mieux que nous. »

 



14/11/2011
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